Depuis que certains officiers de l’ANP en retraite ou mis en retraite avaient fait part de leurs sincères inquiétudes face à la situation politique qui prévaut en Algérie, de nombreux boucliers s’étaient élevés pour pousser des cris d’orfraies contre la violation d’un soi-disant principe de réserve dû aux fonctions de ces militaires. L’une des réactions les plus critiquées fut celle d’un ancien général, Ali Ghediri, aujourd’hui en prison, qui semblait avoir fait mouche en suscitant une volée de bois vert de la part de l’état-major de l’armée, menaçant de représailles judiciaires toute nouvelle tentative d’impliquer l’institution dans le processus électoral à venir, les présidentielles.
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